Vers la gloire !

Daisuke marchait silencieusement. La nuit était presque tombé. Il tournait en rond dans sa tête, ce qu'il allait devoir faire. Dans un sens, il stressait un peu. Depuis des années, il n'était pas sortit de son territoire. Mais il avait tres hate de voir a quoi resemble les chef des differents villages.

...

Daisuka ferma quelque seconde les yeux et sentit l'air chaud des terres noirs. Il voulait profiter de cette ambiance si chaleureuse avant d'entrer dans un monde qu'il ne supporte pas.

Usoop, qui suivait de près Daïsuke sentit une petite secous électrique lui parcourir le corps lorsqu'ils quittèrent le village. Cela faisait si longtemps qu'il ne l'avait pas quitté. Usoop lança un dernier regard au village, puis la tête haute avança tranquillement, entre Daïsuke et Loveless.

Tout en suivant Daisuke, Loveless lanca un regard furtif vers les lourdes portes qui s'étaient refermées derrière eux. Elle se souvint de la première fois qu'elle les avait vues...il n'y a pas si longtemps que ca. Elle songea qu'ils allaient peut être faire à l'inverse le chemin qu'elle avait suivi pour arriver ici. Cela la fit sourire légèrement

Les elfes...

Elle avait murmuré, une lueur meurtrière dans les yeux.

La nuit était completement tombé sur le chemin que suivaient les trois Démons. Il n'y avait pas de lune, et donc il fesait tres sombre. Ce qui était un grand avantage pour se déplacer. Daisuka lança un rapide coup d'oeil au deux Démons qui le suivaient. Il sourit quand il vit dans les yeux de Loveless la lueur que tout les Démons devraient avoir.

Surtout ne trainaient pas... il fait noir et il serat difficile de voir devant nous.

Daisuke continua de marcher à la même alure. Ils leur restaient encore un peu de marche à faire, mais à chaque pas, ils se rapprochaient du territoire des Elfes. Au bond d'un certain moment, ils arrivèrent presque à la fin du monde des Démons.

==> Terre sombre (reste du monde)

Obeissant a Daisuke, Loveless accelera légerement afin de ne pas déranger la "troupe"

Usoop s'apperçut de l'accélération de la marche. Il la suivit.
Après de longues heures de marches, en plein milieus de la nuit, usoop commenca à souffrir des jambes :
Maïtre, quand pourrions nous nous poser pour souffler. J'ai terriblement mal aux jambes et j'aimerais me reposer.